Les plumes et les pinceaux s'agitent à l'EPABR
Écrite et conçue au sein de l’unité d’enseignement, la dernière édition du journal de l’EPABR (« Le Correspondant d’Alice ») vient de paraître, tandis qu’explosent dans le préau les couleurs des œuvres réalisées par les élèves sur la thématique du « fil ».
Un journal. Une expo. Les élèves de l’EPABR n’ont pas chômé à l’approche des grandes vacances.
Né au détour de l’hiver 2023, « Le Correspondant d’Alice[*] », qu’ils conçoivent de A à Z sous la houlette de l’équipe enseignante, en est déjà à son troisième numéro : huit pages pour un tour d’horizon de ce qui fait la vie de l’établissement.
Comme tout bon journal qui se respecte, que ce soit sous sa forme « papier » ou numérique, « Le Correspondant d’Alice » propose des interviews (dans cette édition celles des professeurs bénévoles de l’association « L’école à l’hôpital »), des reportages, des portraits, des témoignages… mais aussi une recette de cuisine partagée par un ou une élève et des jeux.
Transformés pour l’occasion en reporters, photographes, dessinateurs, concepteurs graphiques, maquettistes et parfois poètes, les élèves de l’EPABR apprécient cette parenthèse qui leur permet de « travailler ensemble » et de rendre compte, en textes et en images, de certaines de leurs créations originales. C’est le cas cette fois-ci de l’exposition des travaux artistiques réalisés au sein de l’unité d’enseignement autour du thème « le fil ». Le fil-objet, le fil-concept, le fil-mot… se trouvent déclinés dans une explosion de formes, de matières, de styles et de couleurs. Les aperçus des œuvres publiés sur une pleine page du « Correspondant d’Alice » ne donnent qu’une envie : aller vite voir les originaux sous le préau de l’EPABR.
[*] Clin d’œil à Alice Blum-Ribes qui fut il y a un siècle à l’origine de la « fondation pour enfants malades » et à qui l’EPABR doit son nom.